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Le kangourou repeint toujours son tournevis quand les kiwis jouent du piano.

Et même qu'il paraît que.

Parce que peut-être que, après tout

Demain, il a plu.

Lundi 18 octobre 2010 à 11:46

Fin Septembre, au cœur de Londres. Il était plus de 5h. Je titubais péniblement pour atteindre ma porte d'entrée lorsque quelqu'un passa mon bras autour de ses épaules et m'aida à avancer.
-J... J'crois qu'j'ai un... un peu trrrr... trooooooooo... trop bu.
Ne pas arriver à m'exprimer m'agaça au plus haut point. Je savais parfaitement comment prononcer chaque mot mais mon cerveau imbibé d'alcool refusait de m'obéir. La soirée dont je revenais avait été considérablement arrosée. Considérablement trop, surtout. Sur le trajet du retour, j'avais vomis trois fois, dont une fois sur le portail de le maison voisine, je m'étais endormis dans la voiture de la personne qui m'avait raccompagné jusqu'à ma porte -qui était-ce? Tom? Doug? Dan? Une vague connaissance? Un, une total(e) inconnu(e)?- avant de tomber de sa voiture au moment de descendre et, alors que je tentais maintenant, seul, d'atteindre ma chambre, je me rendais bien compte que les marches tanguaient anormalement. Arrivé enfin sur le palier, je tachais d'avancer le plus doucement possible pour ne pas réveiller les habitants endormis. Je m'assis sur le pas de la porte, essayant de contrôler au mieux mes mouvement, cherchant à enlever mes chaussures pleines de vomi. Un bruit infime suffit pour me déconcentrer. Un petit bruit de respiration. Ainsi, elle dormait ici. Lena. La raison de mon état. La raison pour laquelle je sortais sans cesse. Depuis que mon père avait décider d'épouser sa mère, je ne vivais plus. Je passait le plus clair de mon temps ailleurs qu'ici. Je quittais la maison à mon réveil et y rentrais le matin suivant, totalement soul. Puis je dormais une bonne partie de la journée et recommençais, ce qui avait le don d'exaspérer mes meilleurs amis, particulièrement Tom. Pourquoi mon père se sentait il toujours obligé de gâcher ma vie? J'en étais venu à le détester. J'aimais cette fille depuis le lycée. J'avais tant rêvé de notre hypothétique vie future... Je passais des heures, seul, à régler les moindres détails de cette vie que je m'étais promis de partager avec elle une fois débarrassés de cette étouffante autorité parentale. Le brusque retour à la réalité n'en avait été que plus horrible. Un choc que j'avais mis très longtemps à assimiler. Je l'aimais toujours. Et me comportait comme si je la détestais au plus haut point. Mais c'était indépendant de ma volonté. Je n'arrivais tout simplement pas à lui parler normalement. Chaque fois que je la voyais se mélangeaient mon amour pour elle, ma colère contre mon père, ma rage et mon désespoir. La voir ainsi dans ma vie m'arrachais le cœur. Combien de fois n'avais-je pas rêvé être si proche d'elle, pouvoir la voir tous les jours, croiser son regard, la toucher aussi souvent que je le voulais? Mais dans ces délires, c'était grâce à nous deux si nous habitions ensemble. Pas à cause de nos parents. Je ne pouvais supporter de la savoir si proche en permanence et de ne pouvoir la toucher, la sentir, la prendre dans mes bras et la serrer, fort, si fort...
La savoir si proche avait eu l'effet d'une douche froide. Toute trace d'alcool avait maintenant complètement déserté la moindre parcelle de mon corps. Je poussais la porte de sa chambre. La pièce était plongée dans l'obscurité. A l'autre bout de la pièce se trouvait son lit. Elle dormait profondément. Je me rapprochais lentement et la suppliais silencieusement de ne pas se réveiller. Retenant mon souffle, je m'approchais encore un peu. Il me suffisait maintenant de tendre la main pour la toucher. Elle portait juste un t-shirt beaucoup trop grand pour elle rendu transparent par endroit par l'humidité de ses cheveux mi-longs qui tombaient sur ses épaules et son cou. Le bas de ses jambes nues dépassait du drap qui ne couvrait plus que ses hanches et le haut de ses cuisses. Je m'accroupis à côté d'elle. J'étais dans une position inconfortable mais je me trouvais assez près d'elle pour sentir son odeur. Lentement, je détaillais chaque partie de son corps. Ses pieds. Les fines traces blanches qui contrastaient avec son bronzage devaient correspondre aux lanières des chaussures qu'elle avait porté tout au long de l'été. Ses chevilles. Un petit bracelet entourait délicatement la droite, imprimant sur sa peau ses petits motifs là où elle avait appuyée sur le matelas. Ses mollets délicatement musclés. Elle courait souvent, toujours seule. Ses genoux. J'arrêtais mes yeux sur la petite cicatrice qui zébrait le côté gauche de son genoux droit, formant un point d'interrogation déformé. Ses cuisses. La gauche, presque entièrement recouverte par le drap, et la droite, au trois-quart visible. Je suivis des yeux la courbe parfaite de ses hanches que cachait le drap. Son ventre. Son large t-shirt était un peu remonté et me laissait découvrir le bas de celui-ci jusqu'à son nombril. Lentement, je remontais les yeux. La courbure de ses seins, que son t-shirt n'estompait pas totalement. Son cou, finement ouvré. Une irrésistible envie de souffler sur les cheveux présent pour les balayer me pris soudainement. Je remontais encore un peu les yeux. Son menton. Sa fossette minuscule. Ses lèvres entrouvertes. Son nez, ses paupières. Je voulais les embrasser. L'embrasser. Enfouir ma tête dans son cou. Me caler entre ses seins. Respirer son odeur. Gouter sa peau. Maintenant. Tout de suite. Longtemps.
Elle bougea. Elle allait se réveiller. Il fallait que je sorte. Rapidement. Je me relevais, embrassant une dernière fois du regard ses courbes si attirantes. Je me glissait jusqu'à la porte, sortis de la chambre et refermais la porte dans un silence presque parfait. J'aurais du aller me coucher mais je ne put m'empêcher de coller mon oreille contre la porte pour entendre une dernière fois sa respiration.
-Harlod Mark Christopher Judd, la prochaine fois que tu mets ne serais-ce qu'un pied dans cette chambre, je te promet que je me ferais un véritable plaisir de détruire ton ridicule tambourin et tous les jolis instruments des membres de ton boys bande minable.
C'était dit juste assez fort pour que je l'entende. Sa voix sourde, lourde de menaces, ne laissait aucune place au doute. Elle le ferait.
http://new-dream-for-a-life.cowblog.fr/images/JALOncowblog.jpgAlors si... . Voilà.

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76 bloup bloup bloup.

Demain, il a plu.

Dimanche 30 mai 2010 à 10:27

Tout s'est passé si vite! Quand tu te remémores les évènements, cela t'impressionne encore. Et tu ne comprends toujours pas. Mais tu l'attends. Tu n'as de toute façon pas le choix. Cette fois, c'est elle qui viendra. Elle a dit que ce ne serait pas long et pourtant, l'odeur te chatouille les narines depuis un petit moment déjà. Alors, pour passer le temps, tu décides d'y repenser, encore une fois. Et peut-être enfin comprendre. Tu revois ce jour de la fin du mois de septembre. Tu venais de monter dans le train et cherchais une place. Tu étais entré dans son wagon. Il n'était pas plein mais tu ne pensa même pas à t'asseoir à une place libre. Peut-être était-ce parce que le soleil sur son visage la rendait si jolie? Parce qu'il révélait les fins sillons que des larmes avaient creusé sur ses joues? Ou peut-être parce que, dans son sommeil, elle approchait la grâce et la beauté parfaite des anges? Tu aurais pu te mettre n'importe où, déranger n'importe qui mais c'est elle que tu choisis. Du bout des doigts, tu lui caressa la joue et elle ouvrit les yeux. Tu lui demanda poliment si tu pouvais t'installer auprès d'elle. Elle se redressa doucement, te souris et t'invita à t'asseoir de sa douce et claire voix. Le coin gauche des ses lèvres remonta imperceptiblement quand elle remarqua qu'il restait des places libres dans le wagon et tu feins ne rien voir. Apercevant l'oreillette qui cognait doucement contre ton cou, elle t'interrogea du regard pour savoir si elle pouvait écouter avec toi. Tu acquiesças. Vous ne dites aucun mot du voyage, laissant le soin à ta playlist de faire la conversation. Vous descendîtes au même arrêt. Ce n'était pas le tiens. Le tiens, tu avais choisi de ne pas le voir, quelques villes plus tôt. Tu voulais savoir où elle habitait. Elle t'hypnotisait. Dès l'ouverture des portes, tu partis. Tu ne voulais pas qu'elle comprenne. Mais tu fus vite arrêté dans ton élan. Quelqu'un venait de te prendre la main et te tirait doucement vers l'arrière. Tu te retournas. Elle te regarda un instant puis partis dans la direction inverse, sa main toujours dans la tienne. Comme tu ne bougeais pas, elle s'arrêta et pivota vers toi. « Vous ne venez pas? » Sans que tu saches pourquoi, ses yeux t'inspirèrent confiance et tu choisis de la suivre. Son appartement était joli, son lit moelleux. Sans plus échanger de paroles, vous fîtes lentement et doucement l'amour. Elle sentait la cigarette mais, curieusement, ce n'était pas désagréable. Quand tu te réveilla, elle n'était plus dans le lit. Tu fouillas rapidement la chambre des yeux avant de te rendre compte que ni tes vêtements ni les siens ne s'y trouvaient. Tu t'enroula dans le drap et sortis de la chambre. Elle te rejoignit sous la douche et c'est sous l'eau brûlante que vous fîtes l'amour une dernière fois. Essoufflé, tu sortis de la cabine embuée et attacha une serviette autour de tes hanches. Tu sentis ses mains dans ton dos, effleurer tes omoplates et redescendre sur tes fesses. Ton souffle s'accelera, ton sexe durcit. Tu sentit une légère piqûre dans ton cou. Tu ne sentis plus rien. Tu te réveilla dans le noir, nu et sans aucune notion de temps. Tout d'abord, tu ne compris pas où tu étais ni ce dans quoi tu te trouvais. Puis tu entendis des bruits d'eau et reconnu l'odeur de l'essence qui t'aida à identifier l'endroit où tu était recroquevillé comme un coffre de voiture. Tu savais qu'elle était là. Le bruit de ses talons. Elle ne dit rien, toi non plus. Vous n'aviez jamais rien eu à vous dire... Elle était restée un petit moment puis était repartit. Alors tu avais essayé de comprendre, en vain. Elle étais revenue et tu t'étais demandé depuis combien de temps tu étais enfermé. Elle t'avait dit que ce ne serait pas long... Mais elle étais repartie, encore une fois. Et maintenant, tu attendais. Elle étais de nouveau revenue, entre temps. Tu l'entendis fouiller ses poches. Au bruit, tu compris qu'elle allumait une cigarette. Elle la fuma lentement puis jeta le mégo dans l'essence et partit. Tu entendis le liquide prendre feu et la chaleur se répandre. Tu te surpris à penser qu'elle avait bien fait de garder tes vêtements parce qu'ainsi tu aurais moins chaud. Curieusement, tu ne vis pas ta vie défiler devant tes yeux. Tu étais repartis dans tes souvenirs à la recherche de ce détail que tu ne trouvais pas et qui, le croyais-tu, aurait pu t'aider à comprendre. Tout s'était passé si vite! Tu y repensais, encore et encore, de plus en plus vite, oubliant de plus en plus de détails, cherchant inlassablement cette chose que tu ne trouverais pas. Tu allais mourir, tu le savais. On ne survis pas à l'explosion de la voiture dans laquelle on se trouve. Mais tu t'y étais fait. Non, ce qui te dérangeait c'était que tu ne comprenais pas. Et que tu ne comprendrais jamais.
A quelques mètres de là, la jeune femme essuya d'un revers de la main une larme que l'explosion lui avait arraché. Elle ne souriait plus. La vengeance ne l'amusait pas le moins du monde. Mais elle se l'était promis... Même si elle était certaine qu'aucun d'eux ne s'en souvenait... D'ailleurs, lui non plus ne devait pas se souvenir... Sans doute n'avait il rien compris... Qu'importe. Elle, elle se souvenait, elle savait. Et elle n'oublierait jamais. Elle avait trop souffert. Aussi devait elle rayer tous les noms de sa liste. Pour être enfin tranquille. Il en restait encore deux. Ils étaient cinq, à l'origine. Le chef, dans son souvenir, était grand et maigre, le visage couvert de taches de rousseurs. Le second était son frère cadet. Les trois autres étaient plus flous. C'était pourtant eux qu'elle avait retrouvé en premier. Les noms étaient gravés dans sa mémoire aussi bien que dans sa chair. Ils avaient entre 13 et 15 ans, elle en avait 12. Ils étaient les caïds. Ils l'avaient violée. Puis, non content de leur premier forfait, avaient gravés au cutter leurs initiales dans le bas de son ventre. Les fines cicatrices blanches provoquaient toujours des questions, quelques soit ses amants... Curieusement, les trois seuls à ne pas les avoir remarqués étaient ses trois premières victimes. Il n'en restait plus que deux maintenant. Après, tout serait terminé. Enfin. Elle pourrait à son tour s'allonger dans le coffre d'une voiture après avoir soigneusement renversé le contenu d'un bidon d'essence tout autour puis fumer sa dernière cigarette, bouffée après bouffée, lentement, comme elle aimait le faire. Savourer. Et puis malencontreusement lâcher le mégot encore brûlant dans la mare d'essence... C'est ce qu'elle faisait à chaque fois. Cela marchait pour les autres, cela devrait marcher pour elle aussi... Sortant de ses pensées, elle alluma une autre cigarette. Inspire. Plus que deux. Expire. Plus que deux. Inspire. C'est presque terminé. Expire. Tu dois terminer. Tu peux le faire. Tu va y arriver. Elle aspira une dernière fois la fumée blanche puis jeta le mégot à terre. Plus que deux. Et après, fini. Elle s'humidifia les joues et repris lentement le chemin de la gare. Plus que deux...
http://new-dream-for-a-life.cowblog.fr/images/Toutsestpassesivite.jpgNon ce n'est pas vrai. Je ne tue pas les gens. Ou pas intentionnellement.

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petit bout d'histoires

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Jeudi 27 mars 2008 à 21:06

Quand il vit son visage inondé de larmes, il la prit dans ses bras. Puis, se retirant délicatement de son étreinte, il lui murmura :
- Tu vois toutes ces étoiles ? Je veilles sur elles depuis qu'on me les a confiées. Chaque soir, elle me rappellent cette jeune fille avec qui j'allais au parc étant gamin. Elle ma confié ces étoiles, je lui ai confié mon plus beaux bracelet. Peut-être le porte t-elle encore. Peut-être l'a elle légué comme je le fais aujourd'hui avec ces étoiles. Veille sur elles comme j'ai veillé sur toi toutes ces années et n'oublie jamais que les étoiles appartiennent a ceux qui en ont besoin. Je les ai gardé en secret pendant 17 ans. Et aujourd'hui tu en a besoin. Alors je te les donne. Mais prend en soin. Elles veilleront sur ton sommeil comme les sourires que tu m'a offert il y a bien longtemps. Adieu maintenant.
- Non ! Attend un peu. Juste un peu. S'il te plait !
Sans un mots, il l'embrassa. Puis partit.
Et en le voyant partir, les larmes recommencèrent a couler. Elle s'assit sur l'herbe mouillée et leva la tête. Les étoiles commençaient a apparaitre. Lentement, a mesure que la nuit tombait. Et comme la nuit tombait, elle appréciait de plus en plus son cadeau. Alors seulement elle pensa qu'elle ne lui avait rien offert. Comme elle aurait aimé lui offrir son foulard, celui qu'elle portait toujours. Elle porta la main a son cou et la posa sur sa peau nue. Elle repensa à la manière dont il l'avait pris dans ses bras, au glissement du tissus sur son cou. Il avait deviné. Elle regarda son cadeau et s'endormit en souriant.
http://new-dream-for-a-life.cowblog.fr/images/cieletoile-copie-1.jpg

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l'existance contre une bague rouillé

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Mercredi 23 janvier 2008 à 19:12

j'ai découvert cet article dans le blog d'une charmante jeune fille que je ne connai pas mais cet article est telement bien que je lui ai pris :

Lorsque Billy lui demanda pourquoi elle la portait toujours, elle réfléchit longuement. Non, ce n'était ni par coquetterie, ni parce qu'elle aimait vraiment cette bague.

Elle resta un moment silencieuse puis s'entendit répondre :

_ C'est… un souvenir. Ca m'aide à garder les yeux ouverts, à repenser à mon enfance…

Quand tu es gamin, tu as toujours envie de quelque chose. Et tu finis toujours par l'avoir, que ce soit matériellement ou non. Un carton devient une maison, une pierre un trésor, ton lit un bateau et la moquette une mer déchaînée. Parce que les enfants débordent d'imagination. Ils ont cette insouciance qui fait qu'ils ne comprennent pas quand leurs parents tentent de leur expliquer quoi que ce soit. Ils vivent dans un monde magique où les parents sont tous très amoureux, où tout le monde s'entraide. L'argent coule en abondance comme l'eau d'une fontaine et la mère de chacun est la plus belle au monde…

Finalement, quand ils pleurent, c'est parce que la réalité s'ouvre petit à petit devant eux.

Lorsqu'ils tombent, ce n'est pas toujours parce qu'ils ont mal. C'est parce que personne n'a été là pour les empêcher de tomber, et ils ont cru un instant que personne n'était auprès d'eux. Ils pleurent pour attirer l'attention.

Les gosses ont peur du noir. Ils s'imaginent des monstres prêts à bondir sur eux ou à leur attraper les jambes alors qu'ils montent sur leur lit. Lorsque les adultes ont peur du noir, c'est par crainte d'être épié, suivi par un meurtrier, un couteau à la main luisant dans l'obscurité. Les enfants ont seulement peur des monstres qu'ils voient dans les livres parce qu'ils sont toujours méchants dans ces histoires. Dans leurs livres, aucun humain n'est capable d'une telle chose (ou s'il y en a un qui en est capable, il finit toujours par devenir gentil ou par mourir, laissant le bien triompher) alors pourquoi auraient-ils l'idée qu'une personne puisse leur faire du mal ?

Je la porte toujours, parce que pour moi, elle représente cette insouciance, cette gaieté et cette imagination que l'on a tous eue un jour ou l'autre.

Ca a beau être une vieille bague horrible qui rouille petit à petit et à laquelle il manque des perles, pour moi elle restera toujours une bague en or offerte par mon prince charmant, avec un saphir au milieu et des diamants blancs tout autour d'une fleur magnifique…

Elle    (<-- clique )

 

je m'en vais, ma mauvaise humeur comme seul compagnon ...

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